« Retrouvez ici tous les résumés des actualités traitées par les équipes de l’APNA. Vous pouvez accéder et maitriser les problématiques clés du monde aéronautique en quelques minutes »
La justice américaine rejette l’accord de plaider coupable de Boeing
Les procureurs américains sont des élus et non pas des magistrats indépendants, qui prennent des accords de « plaider coupable » parfois politique.
Le trafic aérien en croissance malgré une rentabilité en baisse et un manque d’avions
La plus grande frustration pour les compagnies aériennes est l'incapacité de Boeing, Airbus, GE, Rolls-Royce, Pratt & Whitney, à livrer les avions et les pièces détachées nécessaires, sans réelle perspective d’amélioration dans les 2 prochaines années.
Airbus en crise de croissance
Avec 497 avions livrés fin septembre, l’objectif de 770 avions livrés d’ici la fin de l’année est encore incertain au regard des retards de livraisons de moteurs Leap et Pratt&Whitney.
Les retards de livraison de Boeing contraignent les compagnies aériennes et donc les embauches
La diminution des livraisons d’avions Boeing, d’abord subie par une chaine de sous-traitants défaillants, puis imposée par le régulateur FAA en raison d’un niveau de qualité insuffisant, est aujourd’hui stoppée par une grève qui devrait se solder par près de 2 mois d’arrêt de production.
Les services aéronautiques au secours des constructeurs d’avions
Chez Boeing, les Services et la Défense sont les seules divisions rentables en 2023, avec pour les seuls Services 3,3 milliards de dollars de bénéfices pour 19,12 milliards de chiffre d'affaires, alors que les avions commerciaux et le spatial sont en lourdes pertes.
Les 2/3 des sous-traitants de l’industrie aéronautique sont exsangues
Les 8579 Airbus et les 6188 Boeing en commande au 30 août, représentent plus de 8 ans de production en rythme annuel, sachant que la flotte mondiale devrait doubler d’ici 2044 pour atteindre 48.000 avions commerciaux qu’Airbus, Boeing, Embraer et bientôt les Chinois devront produire.
Boeing : une grève à 100 millions de dollars par jour et une production à l’arrêt pour les B737 et B777
Contrairement à la France, le chômage partiel aux Etats-Unis n'est pas indemnisé et se traduit donc par une perte complète de salaire, avec la possibilité de retrouver son emploi à l'issue de cette période de mise à pied, qui peut durer jusqu'à un an ; mais à condition que l'entreprise n'enchaîne pas avec un plan de licenciements
Boeing rachète son ex filiale afin de fiabiliser sa production
Depuis sa vente en 2004 par Boeing, Spirit AeroSystems avait développé son portefeuille client, fournissant aussi Airbus avec « la production de sections de fuselage de l'A350 à Kinston (Caroline du Nord) et à Saint-Nazaire (France), la production des ailes et du fuselage central de l'A220 à Belfast (Irlande du Nord) et à Casablanca (Maroc) »,
Les drones commerciaux : l’économie d’avenir de la basse altitude
La Chine est en retard dans la course à l’espace et tente de rattraper les Airbus et Boeing dans la construction aéronautique. Le transport de passagers par drone semble être un nouvel Eldorado où aucun acteur n’apparait encore leader.
Safran et General Electric fêteront le 5 juin, les 50 ans de la création de leur joint-venture à 50/50
La société CFM productrice des 45 000 moteurs CFM56 et Leap vendus. CFM s'est emparé de 75 % du marché mondial avec son CFM56. Une performance réitérée avec le lancement d'un moteur de nouvelle génération en 2008, le Leap…
Course à l'espace, problèmes de production : la pression monte chez Boeing
La sécurité des vols est souvent analysée par les pilotes comme leur domaine réservé, puisqu’ils en sont les acteurs de première ligne. Or, la sécurité des vols, c’est d’abord une chaine sociale et organisationnelle qui a pour résistance celui de son maillon le plus faible.
La revente de ses avions est une source de profit principalement pour les compagnie Low Cost
Avant cette pénurie d’avions post-Covid, les constructeurs d’avions acceptaient des remises importantes aux compagnies qui commandaient leurs avions par centaines d’unité, sachant que ces mêmes compagnies revendent leurs avions avant leurs Grandes Visites d’entretien puisque ne souhaitant pas subir des contraintes de maintenance.